[ÉTUDE] Première base de données sur la qualité de l'air en zone urbaine

Image
Type
Type
Etude/thèse
Année d'édition
Année d'édition
2019
Auteurs
Auteurs
Picto_taxo_

Les résultats de ce projet ont permis, d'une part, de constituer la première base de données sur une échelle à la verticale en zone urbaine et, d'autre part, de faire une recommandation aux modélisateurs de la qualité de l'air pour exploiter cette base de données « verticale » afin de vérifier la paramétrisation de la dynamique verticale et la production chimique en altitude de polluants atmosphériques (ozone et particules).

Les mesures de concentrations d'ozone et de particules réalisées à Paris à différentes altitudes (jusqu'à 300 mètres) ont permis de mettre en évidence que :

  • L'ozone présente un gradient vertical positif, c'est-à-dire que les concentrations en ozone dans l'air augmentent avec l'altitude ;
  • Les plus grosses particules (3 à 10 µm de diamètre) présentent un gradient vertical négatif (en raison de leur dépôt au sol) et qu'il y a une absence de gradient vertical pour les particules les plus fines (0,2 à 3 µm).

Sources : ADEME